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Une fin d'année scolaire au parfum de nostalgie – déjà ! Luna, Anouk, Remi... Plusieurs enfants de la classe de Clara ne seront plus là l'année prochaine. Changements d'école pour les uns, départs vers d'autres pays plus ou moins proches... C'est surtout la fin d'un joli trio belgo-hollando-italien qui s'est créé il y a presque trois ans, entre Clara, Jules et Cesare. Ils étaient si petits, à peine 2 ans et demi, tellement impressionnés par cette immense cour de récréation envahie par des géants d'au moins 5 ans... Très vite, ils ont été inséparables, très vite il y a eu des jeux, des courses dans les couloirs, des bisous du matin et du soir (Clara a très vite adoré coller des bisous sur les jolies joues de Jules qui fuyait en riant...), des goûters partagés/échangés, des histoires racontées par l'un et prises pour parole d'Evangile par l'autre (on a eu fort à faire avec l'imagination fertile et les "mystères de la forêt" de Cesare – non Clara, il n'y a pas de géant avec un couteau qui nous attend au coin du bois...). Puis ce fut le temps des anniversaires, chez l'un, chez l'autre, et ailleurs, les rencontres imprévues à la plaine de jeux, les fêtes de l'école. Ensemble, ils ont ri, joué, sauté dans les flaques d'eau, joué dans le sable, grimpé sur le zèbre de la plaine de jeux, mangé des compotines, fait de la musique, rencontré Saint-Nicolas...
Bon, ok, les Pays-Bas, l'Italie, c'est pas si loin... Non, mais c'est pas si simple ! Petit Jules aux joues à bisous ne rentre pas juste là haut dans l'autre pays du fromage. Non, lui, il vise carrément l'empire du Milieu, Beijing pour quelques années...
Quant à Cesare, il s'en va à Barcelone ; c'est déjà mieux, d'autant qu"il n'y a pas que Cesare qui va nous manquer, il y a aussi sa maman...
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Eloge de la paresse dans un joli château / Petit week-end rien qu'à deux /Lambiner, se promener, profiter / Prendre une douche hollywoodienne / Boire du champagne / Grignoter / Lire un peu mais pas trop / Discuter et refaire le monde, la ville, la rue / Prendre encore un verre / Pique-niquer dans les prés / Faire le plein de vert / Essayer tous les canapés de tous les petits salons de l'hôtel / Dormir / Se réveiller et se dire qu'on peut encore faire le nem géant enroulé dans la couette / Savourer un petit déj géant / Prendre le temps de se reposer, d'écouter / Ne pas penser à demain et aux jours d'après / Se promettre de s'offrir encore un week-end comme ça, dans pas trop longtemps...
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Vu le nombre de collègues-copines réunies, on pourrait croire à une réunion d'unité, sauf que, faut le reconnaître, nous sommes rarement aussi joyeuses – et aussi élégantes. Et on a nettement moins souvent le soleil dans les yeux au bureau... Bref, c'était juste un samedi parfait, comme au cinéma. Tout ce que méritait Astrid, en somme pour le mariage d'une princesse au coeur tendre et d'un chevalier aux yeux doux.
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'Wake up, Alice dear!' said her sister; `Why, what a long sleep you've had!'
`Oh, I've had such a curious dream!' said Alice, and she told her sister, as well as she could remember them, all these strange Adventures of hers ; and when she had finished, her sister kissed her, and said, `It was a curious dream, dear, certainly: but now run in to your tea; it's getting late.' So Alice got up and ran off, thinking while she ran, as well she might, what a wonderful dream it had been.
But her sister sat still just as she left her, leaning her head on her hand, watching the setting sun, and thinking of little Alice and all her wonderful Adventures, till she too began dreaming after a fashion, and this was her dream:
First, she dreamed of little Alice herself, and once again the tiny hands were clasped upon her knee, and the bright eager eyes were looking up into hers – she could hear the very tones of her voice, and see that queer little toss of her head to keep back the wandering hair that WOULD always get into her eyes--and still as she listened, or seemed to listen, the whole place around her became alive the strange creatures of her little sister's dream.
The long grass rustled at her feet as the White Rabbit hurried by--the frightened Mouse splashed his way through the neighbouring pool--she could hear the rattle of the teacups as the March Hare and his friends shared their never-ending meal, and the shrill voice of the Queen ordering off her unfortunate guests to execution--once more the pig-baby was sneezing on the Duchess's knee, while plates and dishes crashed around it--once more the shriek of the Gryphon, the squeaking of the Lizard's slate-pencil, and the choking of the suppressed guinea-pigs, filled the air, mixed up with the distant sobs of the miserable Mock Turtle.
So she sat on, with closed eyes, and half believed herself in Wonderland, though she knew she had but to open them again, and all would change to dull reality– the grass would be only rustling in the wind, and the pool rippling to the waving of the reeds--the rattling teacups would change to tinkling sheep- bells, and the Queen's shrill cries to the voice of the shepherd boy--and the sneeze of the baby, the shriek of the Gryphon, and all thy other queer noises, would change (she knew) to the confused clamour of the busy farm-yard--while the lowing of the cattle in the distance would take the place of the Mock Turtle's heavy sobs.
Lastly, she pictured to herself how this same little sister of hers would, in the after-time, be herself a grown woman; and how she would keep, through all her riper years, the simple and loving heart of her childhood: and how she would gather about her other little children, and make their eyes bright and eager with many a strange tale, perhaps even with the dream of Wonderland of long ago: and how she would feel with all their simple sorrows, and find a pleasure in all their simple joys, remembering her own child-life, and the happy summer days.
Lewis Carroll – photos Guy Gagnon
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Dernier jour de Denis au bureau (avec l'équipe de la rédaction, en tout cas).
Comme rien ne semblait s'organiser pour un dernier drink d'au revoir après plus de 30 ans de boutique, les Mousquetaires ont fait avec les moyens du bord : Super Jé a préparé les affiches, tandis qu'Helena et moi – coiffées des plus beaux chapeaux de la Saint Patrick – en avons placardé une vingtaine dans tout l'étage.
Et on est prêt à payer la récompense pour qu'il reste...
Ca va être triste, la rentrée sans Denis...
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