Je me la joue petit bras, petit moral, pour le moment. Cerveau sur répondeur, neurones ramollis par excès de majorité qualifiée, subsidiarité et autres substances institutionnelles, moral dans les sandales à l'approche du concours-au secours. Dans cette vie aussi palpitante qu'un vieil épisode de Derrick, trois rayons de soleil : Clara Bouglione, qui veut être trapeziste plus tard, Michael, le boptilo, la belle bête tatouée de Prison Break - ça y est, on est accros - et ... Julien, ma nouvelle Star à moi. Entre deux zappings de Fernando, je suis tombée en extase ti amo illico devant ce petit bonhomme avec son regard en larmes de koala, qui se coiffe avec une barrette ridicule, qui s'habille comme l'as de pique, qui danse comme un presse-purée, mais qui vous transforme une daube d'Alizée en pur délice. Et c'est encore mieux quand il reprend les bêtises de Sabine Paturel... en voilà des plaisirs simples qui font pas mal aux cheveux!